Location vacances à Fains-Véel, Hôtels et hébergement de tourismes à Fains-Véel, camping

Hébergement à Fains-Véel

Si vous planifiez vous rendre à Fains-Véel, dans le département Meuse, vous trouverez sur cette pages les hôtels étoilés, parcs de loisir, villages vacances (VVF) et résidences touristiques étoilées se trouvant à Fains-Véel et sa proximité. Vous connaîtrez alors l'offre d'hébergements touristique de Fains-Véel, la capacité d'accueil des hôtels et résidences, les coordonnées et le classement étoilé des établissements. En bas de page, vous avez un module de calcul de trajet dont vous pouvez vous servir pour déterminer l'itinéraire vers le l'établissement d'hébergement.

Fains-Véel est une commune de 2212 habitants pour une superficie de 18.42 km2. Pour plus d'informations sur Fains-Véel vous pouvez visiter la page consacrée à cette commune. Vous pourrez trouver des données de type géographiques, administratives et statistiques sur Fains-Véel.

Voir aussi :
cartes mairie Itinéraires sport radars Meuse Grand-Est Superficie Plan Population Collèges

Sites touristiques à Fains-Véel

Si vous voyagez à Fains-Véel, quelques sites touristiques, monuments, restaurants à visiter :


GÎTE LES SOURCES

Le gîte propose 3 chambres, 1 salle de bain, 1 grande pièce ouverte avec cuisine équipée. Il est situé sur la place du village qui offre tous services. A 5 km de Bar-le-Duc.

Thème du site :
2 étoiles#Classement officiel des hébergements touristiques

Adresse :
1 Rue de Véel 55000 Fains-Véel

Contact :
Téléphone : +33 6 73 18 98 04
Email : picstephanie@hotmail.fr

HALTE DE PLAISANCE

3 places, eau et électricité. Emplacement journalier avec fluides : 7,50 € / jour / bateau. Taxe de séjour : 0,20 € / jour / personne. Ouvert du 1er mai au 30 septembre.

Adresse :
Rue du Stade 55000 Fains-Véel

Contact :
Téléphone : +33 3 29 78 29 61
Email : developpement.territorial@meusegrandsud.fr

BOWLING MELISTRIKE

Moments de détente garantis entre amis ou en famille après le travail, le week-end, pendant les vacances... Vous jouerez dans une ambiance vidéo musicale face à 12 pistes sur écrans géants ! . Jeux vidéo, billards, bar, restaurant. Ouvert : - du lundi au jeudi et dimanche de 14h à 23h, - vendredi et samedi de 14h à 2h.

Adresse :
4 impasse de la Varenne 55000 Fains-Véel

Contact :
Téléphone : +33 3 29 45 52 80
Email : bowlingmelistrike@gmail.com
Site web : http://bowlingmelistrike.fr/

AUBERGE DU VAL D'ORNAIN

L'Auberge du Val d'Ornain est située dans un cadre de verdure à Varney, au bord du canal, à seulement 10 minutes du centre-ville de Bar-le-Duc. Sous le signe de l'élégance et du raffinement, Romain Brillant et son équipe dynamique vous propose une cuisine française ou teintée de saveurs hispaniques. De quoi faire le bonheur des gourmets ! Aux beaux jours, une terrasse ombragée récemment rénovée permet de se restaurer au bord d'un grand parc arboré. L'endroit est idéal pour fêter des événements familiaux en dégustant des mets authentiques, ou pour les repas d'affaire autour d'une bonne paëlla.

Adresse :
Varney 55000 Val-d'Ornain

Contact :
Téléphone : +33 3 29 45 29 23
Email : brillant-romain@orange.fr
Site web : http://www.auberge-val-ornain.fr/

CHEMIN DE FER HISTORIQUE DE LA VOIE SACREE

L'association CHEMIN DE FER HISTORIQUE DE LA VOIE SACREE (C.F.H.V.S.). a pour activité principale le remise en circulation de la locomotive à vapeur Suzanne et de son wagon, classés tous deux monuments historiques, propriété de l'association 'la Suzanne' sur une partie de l'ancien tracé du chemin de fer d'intérêt local au départ de Bar-le-Duc et en direction de Verdun. Reconstruction de la voie ferrée et des bâtiments nécessaires à son exploitation, exploitation de ce chemin de fer historique et de toute animation s'inscrivant notamment dans la politique de mémoire de la Grande Guerre, dans la valorisation des inventeurs meusiens ou tout autre thème jugé utile. Possibilité de visites pour groupes sur rendez-vous.

Adresse :
Chemin du Varinot 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 6 46 71 24 21
Email : cfhvs@hotmail.fr

VELO RAIL EN FORET DE MASSONGES

En famille ou entre amis, venez découvrir la forêt de Massonges en pédalant sur de drôles de machines ! Suivez le chemin de fer historique de la Voie Sacrée et profiter d’un cadre 100% nature qui ravira petits et grands ! Départ toutes les heures. Durée : 45 minutes. Tarif : 12 euros le vélo rail. Pour chaque vélo rail : 4 adultes maximum (jusqu'à 5 personnes avec un enfant). Départ à l'extrémité du Chemin Varinot à Bar-le-Duc. Réservations fortement conseillées auprès de l’Office de Tourisme Meuse Grand Sud : 03 29 79 11 13 Possibilité de réserver pour les groupes les jeudis du 16 mai au 12 septembre sur rendez-vous (contact : Chemin de fer historique de la Voie Sacrée : 06 46 71 24 21).

Adresse :
Chemin du Varinot 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 3 29 79 11 13
Email : cfhvs@hotmail.fr

CLUB ULM BAR LE DUC EXTREMES

Initiation au pilotage d'ULM. Equipement disponible : club house, hangar, piste de 375m, pendulaire multi axe. Baptême de l'air : 35 €/15 min - 60 €/30 min, 110 €/1h. Location ULM : 48 €/1h.

Adresse :
Lieu Dit "Les Pordottes" 55000 Fains-Véel

Contact :
Téléphone : +33 6 72 42 65 45
Email : joel.piana@hotmail.fr

LE QUARTIER DE LA LIBÉRATION

Situé à l’extérieur de la ville ancienne, le quartier est urbanisé à l’issu de la Seconde Guerre Mondiale. Son nom fait référence à l’entrée des troupes américaines dans Bar-le-Duc par cet axe le 31 août 1944. Une borne située le long de l’avenue commémore cet événement. Àl’écart du coeur historique de la ville, la zone de confluence du canal des Usines et de l’Ornain est occupée dès le Moyen Âge par des activités artisanales. Au XIIIe siècle, le comte Henri II fait installer un moulin, à l’actuelle intersection des rues Poincaré et des Foulans. En 1581 est installée en aval, après accord des ducs de Bar et de Lorraine, une « esmouerie », lieu de fabrication d’épées, sabres et objets en fer ou acier servant à l’armement. Des couteliers, des taillandiers et des tanneurs viennent ensuite rejoindre ce premier établissement. Au XVIIIe siècle, la Ville accorde le droit d’y installer une poudrerie qui fonctionnera une cinquantaine d’années. En 1830, une forge pour affiner la fonte de fer fonctionnera peu de temps. Ces activités qui pouvaient occasionner des nuisances voire comporter des risques (explosions) pour la population sont sciemment mises en place loin du bourg. En bordure de la rue des Clouyères (actuel boulevard Raymond Poincaré) et au début de l’ancienne route de Châlons, le général Broussier, originaire de Ville-sur-Saulx, fait construire une maison de maître au coeur d’une vaste propriété, sur le modèle de ce que fera le Maréchal Oudinot rue Lapique. Dénommé ensuite « château Nicolas » en raison de son propriétaire Roussel, maître de forge, il sera plus tard vendu et loti. On y construit notamment l’internat du lycée Poincaré. À l’issu du second conflit mondial, Bar-le-Duc connaît des problèmes de logement liés à une forte pression démographique, des habitations anciennes et vétustes et une industrialisation importante. On décide donc de construire un quartier neuf composé d’un ensemble d’immeubles et de maisons individuelles. Au coeur de ce nouveau quartier où les espaces verts occupent une large place, se trouve l’église Notre-Dame de Lourdes, ardemment défendue par le chanoine Monflier (1896-1966), alors archiprêtre de Bar-le-Duc. Construite sur un plan centré, elle est aujourd’hui désacralisée. Une passerelle piétonne au-dessus de l’Ornain permet de rejoindre le quartier des « Castors », construit de façon homogène peu avant celui de la Libération.

Adresse :
55000 Bar-le-Duc

CHAMBRES D'HOTES LA VILLA DES DUCS

La Villa des Ducs est une très belle demeure de 500 m² à la décoration classique et contemporaine. Elle offre 5 chambres dont une suite, toutes équipées d'une salle de bain et de toilettes privatifs. A disposition un espace lecture, un piano, des jeux de sociétés. Petit-déjeuner composé de produits locaux. A 500 mètres du centre-ville.

Adresse :
61 Boulevard Raymond Poincaré 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 6 81 22 56 97
Email : contact@lavilladesducs.fr
Site web : http://www.lavilladesducs.fr/

LE LYCÉE RAYMOND POINCARÉ

1856 - 1857 Construit pour succéder au collège Gilles de Trèves, fondé au XVIe siècle et devenu trop exigu, le « lycée impérial » est inauguré le 26 octobre 1857. Disposés autour d’une cour fermée, les bâtiments peuvent alors accueillir trois cents élèves, des petites classes à la terminale. Agrandi à plusieurs reprises, il regroupe aujourd’hui un lycée et un collège. Dès le début du XIXe siècle, les élèves sont trop à l’étroit dans les bâtiments du prestigieux collège Gilles de Trèves. Par décret, Napoléon III érige le collège en lycée en 1854 et la construction de nouveaux bâtiments est décidée. Le chantier est confié à l’architecte départemental Charles Démoget qui donne à l’établissement une architecture très classique, sur un plan quadrangulaire. Dans l’axe du porche, surmonté d’un fronton triangulaire et flanqué de colonnes d’ordre corinthien, se trouve l’ancienne chapelle du lycée. À partir des années 1950, l’accroissement des effectifs rend nécessaire la construction de nouveaux bâtiments : internat, salles de cours, gymnase et terrains de sport constituent aujourd’hui la cité scolaire Raymond Poincaré. Au cours de chaque guerre entre la France et l’Allemagne, le lycée joua un rôle primordial. En 1870 comme pendant la Première Guerre Mondiale, le lycée fut occupé par un hôpital militaire. En 1914, l’établissement fut également le siège de l’État-major, tout en continuant à accueillir des élèves. Sous le porche, une plaque honore tous les élèves morts pour la France, notamment au cours de la Grande Guerre. Depuis sa création, le lycée de Bar-le-Duc a accueilli de nombreux élèves devenus ensuite célèbres, dont l’académicien Louis Bertrand, le graveur Paul Lemagny ou le président Raymond Poincaré,dont le lycée prend le nom un an après son décès, en 1935.

Adresse :
1 place Paul Lemagny 55000 Bar-le-Duc

MEUBLÉ CHEZ L'HABITANT

EN CENTRE VILLE DE BAR LE DUC, meublé de 60m2 tout confort, chez l'habitant composé d'une chambre avec lit double au calme, une cuisine équipée (cuisson, lave linge, frigo, vaisselle....), une salle de douche, un lavabo et des W.C. indépendants, un grand salon-salle-à-manger-bureau, lumineux. Wifi gratuit. Le tarif est dégressif pour plusieurs nuits. Linge de lit et de toilette fournis (produits fournis). Abris vélos et poussettes sécurisés. Pas de garage mais possibilité de stationnement proche.

Adresse :
15 boulevard Poincaré 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 6 83 54 25 94
Email : joelle.peeters@free.fr

LA PLACE DE LA COURONNE

Le nom de cette place proviendrait d’une auberge installée ici au XVIIe siècle. Dénommée place de la Liberté pendant la Révolution, un marché y est alors organisé une fois par semaine. Aujourd’hui encore, la porte de la Couronne, plusieurs fois remaniée, signale symboliquement l’entrée dans la partie la plus ancienne de la cité. Constituant un des trois accès du quartier fortifié du Bourg, la porte de la Couronne était parfois désignée sous le vocable de « Tête-fendue » en raison de la présence contiguë de la maison du bourreau au Moyen Âge. On la trouve également mentionnée sous le nom de « Notre-Dame ». En effet Louis XI, qui occupe la ville à la fin du XVe siècle, fait installer des statues de la Vierge sur les portes de la cité. C’est également ce souverain français qui renforce la protection de cette entrée par la construction de quatre échauguettes. Au XVIIIe siècle, la porte médiévale est détruite peu après les murailles pour laisser place à un ouvrage plus ouvert sur l’extérieur. L’ensemble sculpté des pilastres et des pots à feu est dû à l’artiste barisien Louis Humbert. Point de jonction entre villes haute et basse, ce lieu reçut l’unique presbytère de la ville ainsi que la première école de la cité. Cette dernière était installée dans la maison à pans de bois et encorbellement construite au XVe siècle à l’angle de la place et de la rue Gilles de Trèves. L’édification du collège voisin en 1574 fait perdre à cette habitation sa vocation première. L’école de garçons Paulin-Gillon, construite en 1902 à proximité de la porte, a perpétué cette tradition enseignante au XXe siècle. À l’Est, la place ouvre sur la rue éponyme, longtemps appelée la rue des Juifs. Cette ancienne appellation atteste de l’importance de la communauté juive vivant à Bar-le-Duc au Moyen Âge, alors protégée par les ducs de Bar.

Adresse :
55000 Bar-le-Duc

LE COLLÈGE GILLES DE TRÈVES

Construit par le doyen de la collégiale Saint-Maxe pour instruire les jeunes du Barrois, l’architecture du bâtiment est typique du style lorrain du XVIe siècle influencé par l’art et les techniques de la Renaissance. Organisé autour d’une cour délimitée par une galerie, il se caractérise par son volume simple, sa toiture discrète mais haute, la régularité des ouvertures sur de hautes façades ornées dont les principales richesses sont dissimulées dans la cour. Afin d’offrir un enseignement de qualité aux jeunes du Barrois et de lutter contre les effets de la Réforme protestante, Gilles de Trèves décide de financer la construction d’un collège, à mi pente entre la Ville haute et le Bourg. Le bâtiment est achevé en 1574 mais il n’est ouvert aux écoliers qu’après le décès de son fondateur en 1582. Les Jésuites dirigent l’établissement de 1617 à 1762, date de la dissolution de leur ordre par le Parlement de Paris. Lycée puis école de jeunes filles au XIXe siècle, l’édifice est un lieu d’enseignement jusqu’en 2002. Bel exemple d’architecture civile de la Renaissance, décrit comme « la plus belle maison de ville qui soit en France » par Montaigne de passage en 1580, les bâtiments s’organisent autour d’une cour intérieure bordée de galeries. Celles-ci sont surmontées de balcons aux curieuses balustrades entrelacées. La toiture est pourvue de fenêtres jumelées aux frontons triangulaires et d’un élégant clocheton. La façade sur rue était à l’origine la plus ornée mais, en très mauvais état, elle fut détruite en 1831. Du mobilier d’origine, il ne reste malheureusement que deux taques de cheminées. Sous la voûte du porche la devise du fondateur rappelle : « que cette demeure reste debout jusqu’à ce que la fourmi ait bu les flots de la mer et que la tortue ait fait le tour de la terre ».

Adresse :
rue Gilles de Trèves 55000 Bar-le-Duc

LA RUE DU BOURG

Tirant son nom du “Burgum Barri“, le quartier qu’elle traverse de part en part, la rue du Bourg est l’un des axes urbains les plus anciens de la ville. Elle offre une grande diversité architecturale.Sur le chemin qui conduisait au château,elle présente des façades de la Renaissance qui ont inspiré de nombreux écrivains. Le Bourg, fondé au Ve siècle sur la rive gauche de l’Ornain à l’intérieur de murailles, réunit à l’origine l’essentiel de la population et de l’activité économique de la cité ainsi qu’un hôtel- Dieu. Un premier château aurait été édifi é en son sein au Haut Moyen Âge. Le canal qui le dessert sur son fl an sud permet l’avènement d’un premier artisanat notamment textile. Bâtis en pierre de Savonnières dans la première moitié du XVIIe siècle, les hôtels particuliers des riches patriciens présentent de grandes similitudes de plan et d’élévation avec leurs homologues de la Ville haute. Plus tardifs, ils offrent un décor ornemental foisonnant, laissant apparaître un style que l’on a parfois qualifi é de baroque. La recherche d’un rythme par l’alternance de frontons triangulaires et curvilignes, la présence de colonnes engagées et le décor sculpté exubérant d’êtres hybrides, de rinceaux et de mascarons, confèrent à l’ensemble une grande richesse ornementale. La maison des deux barbeaux au numéro 26 de la rue, ornée de sirènes sculptées sortant de gaines de feuillages, fut immortalisée par l’écrivain André Theuriet. Au XVIIIe siècle, les baies sont agrandies, cintrées et ornées de motifs rocaille. Au siècle suivant, les canons de l’architecture classique sont bien intégrés par les architectes dans les édifi ces officiels, tandis qu’à la fi n de ce siècle émerge une esthétique nouvelle – l’Art Nouveau – visible dans la construction en surplomb, appelée oriel, du numéro 59 de la rue.

Adresse :
rue du bourg 55000 Bar-le-Duc

MAISON DES DEUX BARBEAUX

La Maison des Deux Barbeaux, dont la façade est classée aux Monuments Historiques, propose un appartement de 75 m² en plein centre-ville de Bar-le-Duc. Son intérieur est moderne et tout confort. Pour les petits : lit parapluie, table à langer et chaise haute sont à disposition. Côté histoire : la Maison des 2 Barbeaux doit son nom au romancier André Theuriet qui la décrit dans un de ses romans.

Thème du site :
3 étoiles#Classement officiel des hébergements touristiques

Adresse :
26 Rue du Bourg 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 6 98 80 87 72
Email : contact@les2barbeaux.fr
Site web : https://les2barbeaux.fr/

BAR DU CYGNE

Le Bar du Cygne est un bar de nuit, un concept novateur de Bar-Lounge Licence IV, équipé d'une petite salle des fêtes et d'un fumoir. Un lieu de vie et de rencontres, un endroit cosy, confortable et chaleureux, un des meilleurs bars pour sortir boire un verre sur Bar-le-Duc et passer un moment agréable !

Adresse :
6 Rue du Cygne 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 7 68 89 79 77

LE CHÂTEAU DES DUCS DE BAR

XV et XVI e siècles Soucieux de protéger ses terres, Frédéric, duc de Haute Lorraine, décide vers la fin du Xe siècle de construire un château fort sur un éperon rocheux dominant la vallée de l’Ornain. Ce site idéal, entouré par deux ravins et prolongé par un plateau, n’accueille guère, dans un premier temps, que quelques habitations et une chapelle. Maintes fois remanié, agrandi et renforcé, le château est détruit dans sa quasi-totalité au XVIIe siècle. Au XIIIe siècle, préférant pour capitale Bar-le-Duc à Mousson, les comtes de Bar réalisent des travaux. L’extrémité de l’éperon est alors entourée d’une double enceinte afin de protéger logis, communs, collégiale Saint-Maxe et bâtiments canoniaux. Véritable petite ville, la place forte doit pouvoir se suffire à elle-même en cas de siège. Elle abrite une garnison, du personnel domestique, des ateliers de fabrication d’armes, et possède ses propres réserves d’eau et de nourriture. D’architecture sévère, le château devient au XVe siècle un véritable palais richement meublé et décoré. René II (1473-1508) contribue beaucoup à son embellissement. La Grande Galerie, salle de réception monumentale et solennelle, est construite sur le flanc nord-est. Le Baile, première ligne de défense du château, devient un jardin d’agrément, probablement d’inspiration italienne comme le veut alors la mode. Dès le XVIIe siècle, les ducs de Bar et de Lorraine délaissent Bar-le-Duc. Le château, mal entretenu, se dégrade. En 1649, un incendie le ravage. Après plusieurs occupations françaises et pour punir la politique anti-française du duc Charles IV, Louis XIV ordonne son démantèlement en 1670. Du château ducal, il ne reste que l’ancienne Cour des Comptes, organe principal de l’administration du duché. À proximité de la «Belle Porte», René II fit construire un bâtiment voûté en pierre pour abriter le Trésor des Chartes. Le duc Antoine (1508-1544) y ajouta une salle d’audience en 1523, complétée sous Charles III (1545-1608) par un logis comprenant un corps central et deux ailes en retour.

Adresse :
esplanade du château 55000 Bar-le-Duc

BISTRO DOUDOU

Doudou est un bistro barisien qui vous propose de manger ou simplement de boire un verre. Cuisine 100% végétale et fait maison, privilégiant le local, le bio et les produits de saison.

Adresse :
3 Rue du Four 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 9 67 44 08 40
Email : doudou.barleduc@gmail.com
Site web : http://www.bistrodoudou.com/

LE MONUMENT DES MICHAUX

XVIIIe et XIX e siècles- A l’emplacement d’une ancienne fontaine, un monument élevé en 1894 par souscription publique honore la mémoire des Barisiens Pierre et Ernest Michaux, inventeurs et propagateurs du vélocipède à pédales. Ce monument marque également l’entrée du quartier du Bourg. Un enfant joufflu représentant le génie du vélo, placé devant un vélocipède, vante l’invention de la pédale par les Michaux père et fils en 1861, permettant ainsi au cycle d’évoluer de la draisienne vers le vélocipède. Malgré l’inscription apocryphe, l’avènement du cyclomoteur au XXe siècle ne doit rien à ces Barisiens, anciens réparateurs de fiacre reconvertis dans le commerce de ce nouveau moyen de locomotion. Conçu par Édouard Houssin, l’ensemble sculpté en bronze fut fondu en 1942 et restitué peu après la Seconde Guerre Mondiale. Le monument commémoratif remplace une fontaine édifiée en 1756 pour pourvoir aux besoins de ce quartier. Venant des sources de Popey, l’eau sera néanmoins déclarée dangereuse à la consommation et interdite en 1781. Une pompe alimentée par un puits permit toutefois aux habitants de trouver de l’eau à cet emplacement jusqu’au XIXe siècle. Cet ensemble bâti dans un angle incurvé présente une structure classique associant pilastres ioniques, niche à coquille, cartouche rocaille et fronton triangulaire. Ouvrant sur la rue du Bourg, le monument est construit à l’emplacement d’un ancien bastion qui protégeait une des trois entrées de ce quartier au Moyen Âge. Des fossés alimentés en eau par une dérivation du canal des Usines étaient franchis au moyen d’un pont-levis. La tour carrée qui le surmontait appartenait à l’enceinte fortifiée de la cité. Comme toutes les fortifications de la ville, ce complexe défensif disparut sur ordre de Louis XIV en 1670.

Adresse :
rue Maginot 55000 Bar-le-Duc

LA PRÉFECTURE

Au coeur du quartier du Bourg, le site de la préfecture a concentréau fi l des siècles des fonctions religieuses, hospitalières, politiques et administratives. Les bâtiments de la résidence officielle du préfet de la Meuse témoignent aujourd’hui de ce riche passé. A proximité d’un premier château fort, une église dédiée à saint Denis est fondée au Haut Moyen Âge. Elle fut pendant longtemps le seul établissement religieux de la rive gauche,avant sa destruction au début du XIXe siècle. Les bénédictins du prieuré de Notre-Dame créent au XIIe siècle, en lieu et place du château, une Maison-Dieu destinée à prodiguer les soins aux malades et l’assistance aux plus démunis. En 1382, le duc Robert le Magnifi que confi e à l’ordre hospitalier monastique des Antonistes le soin d’administrer cette institution. Une partie des bâtiments conventuels reconstruits au XVIIIe siècle constitue le noyau de l’actuelle préfecture. Un escalier, une rampe en fer forgé, des niches sculptées et le jardin datent de cette époque. La façade néo-classique construite sur la rue du Bourg par l’architecte départemental Dubois en 1821, annonce de façon ostentatoire la nouvelle vocation officielle de ce bâtiment de la République. Ce n’est qu’en 1906 qu’est édifiée par l’architecte départemental Royer la façade s’ouvrant sur la place Reggio. Cette construction, permise par la démolition de l’ancienne mairie en 1867 mais retardée par la guerre de 1870, s’inscrit dans le courant historiciste du XIXe siècle. Les hauts toits munis de cheminées monumentales, les lucarnes ornées de frontons et les larges ouvertures à meneaux, évoquant par leur forme la croix de Lorraine, inscrivent cette nouvelle aile dans la lignée des constructions néo-Renaissance traditionnellement réservées aux hôtels de ville. De cette même époque date l’aile ouvrant sur la rue du Bourg qui abrita jusqu’en 1968 les Archives départementales.

Adresse :
55000 Bar-le-Duc

RESTAURANT CÔTÉ CÉPAGES

Cave à vins, bar à vins, épicerie fine et restaurant. Toutes les préparations du restaurant sont faites maison. 500 références de vins, champagne, whisky et spiritueux. Coffrets cadeaux, paniers garnis... Dégustation sur place.

Adresse :
16/18 Rue Bar la ville 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 3 29 75 64 18
Email : cotecepages@orange.fr
Site web : http://www.cotecepages.fr/

LE PONT NOTRE-DAME

XIVe siècle Passage obligé entre le quartier deBarriville et celui du Bourg, le pont Notre- Dame ou Grand Pont fut pendant longtemps le seul à franchir l’Ornain.Pivot entre deux quartiers, de nombreuses maisons surmontaient jusqu’au XVIIIe siècle ses cinq arches en pierre de taille. La statue qui orne sa chapelle a survécu aux bombardements dela Seconde Guerre Mondiale. Primitivement construit en bois, la date de 1311 inscrite plus tard sur une des piles du pont nous renseigne sur le moment de sa construction. Comme dans toutes les villes d’alors,les habitations construites en encorbellement au-dessus de la rivière permettent d’augmenter la place disponible et créer une artère commerçante animée. Après le Siècle des Lumières, dans un souci d’hygiène, ces maisons sont petit à petit détruites. Les dernières ont disparu au cours du XXe siècle. Afin de faciliter la circulation, le tablier en dos d’âne est abaissé en 1883 puis élargi. Sur la pile centrale d’amont est bâtie une chapelle, dédiée à sainte Anne puis à la Vierge après 1645. Plusieurs fois reconstruite, toujours sur un plan hexagonal, elle était une étape pour les différentes processions dans la ville. Elle abrite une statue de la Vierge réalisée par François Humbert au milieu du XVIIe siècle. Cette dernière provient d’une des portes des anciens remparts de la ville. Les vitraux des années cinquante représentant sainte Anne et la Vierge à gauche et saint Joachim à droite sont dû au maître verrier nancéen Benoît. Jusqu’à la construction du canal de la Marne au Rhin, l’Ornain est une rivière tumultueuse où la navigation ne peut se faire qu’en aval de la cité ducale. Les matières pondéreuses comme le bois qui arrivent des montagnes vosgiennes par flottage sont hissées sur des bateaux peu après le passage du pont, au niveau de la rue du Port. Afin de protéger sa structure des coups portés par les grumes, les piles du pont sont renforcées par des becs. Comme tous les autres, le pont Notre-Dame fut détruit en 1944, à l’exception de sa pile centrale.

Adresse :
rue Notre-Dame 55000 Bar-le-Duc

RESTAURANT-BAR LE DAI DAI

Le Dai Dai vous propose des spécialités italiennes, des pizzas, des salades, et un menu du jour. Les restaurant et le bar sont ouverts du lundi au samedi, et également le dimanche lors des évènements importants de la ville (Festival RenaissanceS, Saint-Nicolas...).

Adresse :
3 Place Reggio 55000 Bar-le-Duc

Contact :
Téléphone : +33 3 29 89 10 20
Email : daidaibarleduc@gmail.com

L'EGLISE NOTRE DAME

XI-XVIIIe siècles Plus ancien édifi ce religieux de la ville, l’église Notre-Dame fut également sa seule église paroissiale jusqu’à la fi n du XVIIIe siècle. Remaniée à plusieurs reprises, elle était pourvue d’une fl èche incendiée par la foudre en 1619. Une nouvelle tour surmontée d’un dôme fut édifi ée à partir de 1728. Fondé par la comtesse Sophie en 1088 à l’emplacement d’un premier sanctuaire dédié à la Vierge, le prieuré Notre-Dame dépend alors de la riche abbaye de Saint-Mihiel. Une charte de l’évêque de Toul fi xe les relations entre les moines et les habitants. Le prieur est ainsi nommé curé de la paroisse, tandis qu’un vicaire assure le quotidien de la vie paroissiale. L’histoire de l’église est émaillée de nombreux confl its d’intérêts entre le prieuré et la ville. À la Révolution française, le bâtiment est transformé en temple de la Raison avant de retrouver sa vocation première en 1802. Construite sur quatre siècles, l’église Notre-Dame cumule les styles architecturaux. Du premier édifi ce roman ne restent qu’une travée du collatéral nord et les lourdes piles quadrangulaires qui supportaient des tours clochers. La longue fl èche qui surmontait la tour sud fi t la célébrité de l’édifi ce jusqu’à sa destruction par un incendie le 14 mars 1619. Sur le modèle de l’abbatiale de Saint-Mihiel, le plan présente un double transept permettant un accès dégagé au choeur. Celui-ci est bâti au XIIe siècle dans un style gothique aux infl uences champenoises indéniables. Le duc Robert le Magnifi que fait reconstruire la nef en 1383 et plusieurs chapelles latérales complètent l’ensemble aux siècles suivants. La tour porche située dans l’axe de la rue Bar-la-Ville remplace un premier édicule bâti sous le duc Robert. Avec la façade occidentale, cet ensemble architectural, conçu par le moine architecte Nicolas Pierson, introduit un vocabulaire ornemental classique : pilastres, balustrades, dôme. Le haut-relief de l’Assomption de la Vierge, dû au ciseau du sculpteur Louis Humbert, surmonte le porche d’entrée depuis 1751. À l’intérieur, plusieurs oeuvres d’artistes locaux (Ligier Richier, Jean Crocq, Louis Yard) nous renseignent sur la richesse artistique du duché. Des bâtiments conventuels (cloître, jardins, lieux de vie des moines) organisés autour de l’église ne subsiste qu’une partie transformée en hospices civils à partir de 1812. Un square remplace le cimetière paroissial qui jouxtait l’église à l’Est

Adresse :
Rue Jeanne d'Arc 55000 Bar-le-Duc

CATURIGES ET LES ORIGINES DE LA VILLE

Hormis quelques vestiges celtes antérieurs, les témoignages d’une occupation du site de Bar-le-Duc datent du Ier siècle de notre ère. Fondée sur la rive droite de la rivière Ornain, Caturiges n’est alors qu’un relais de poste gallo-romain – une “statio” – sur la route de Reims à Toul, au coeur du territoire des Leuques. La voie prétorienne qui traverse Caturiges correspond au tracé de l’actuelle rue des Romains. Attestée dans les textes par la table de Peutinger, grande carte de géographie des itinéraires de l’Empire romain au IIe siècle, Caturiges tire sans doute son nom de la divinité gauloise de la guerre « Caturix ». Elle se développe sur un axe de passage au fond de la vallée de l’Ornain. Constituée d’une maison de poste (mutatio), d’une hôtellerie (mansio) et de quelques maisons d’artisans et de commerces, l’agglomération s’installe autour d’une dérivation du Naveton. Les fouilles archéologiques menées dans ce quartier lors des grands chantiers du XIXe siècle (chemin de fer, canal) ont mis au jour de nombreux objets conservés depuis lors au Musée barrois : monnaies, statuettes, stèles funéraires... Alors que Nasium - la plus grande cité gallo-romaine de la civilisation leuque -perd peu à peu de son importance, la petite bourgade s’étend vers l’amont et prend le nom de Barrivilla au Haut Moyen Âge. Au moment de sa christianisation, un premier sanctuaire, rattaché au diocèse de Toul, s’élève dans ce faubourg. Après le passage dévastateur des Huns en 451, la ville mérovingienne croît et s’étend de part et d’autre de l’Ornain créant un nouveau quartier accolé à la colline de Bar : le Burgum Barri. En aval, le quartier de Couchot, coeur de l’ancienne Caturiges, tire son nom de sa situation à l’Ouest, au couchant de la ville actuelle.

Adresse :
55000 Bar-le-Duc

Hôtels à Fains-Véel et communes proches

HÔTEL RESTAURANT BERTRAND
19 Rue de l'étoile
55000 BAR-LE-DUC
Téléphone : +33 (0) 329790297
Mail : contact@hotel-bertrand.com
Web : http://www.hotel-bertrand.com

Nombre de chambres : 32
Capacité d'accueil : 77
ETAP HOTEL BAR LE DUC
5 ALLEE DE LA GRANDE TERRE
55000 BAR LE DUC
Téléphone : +33 (0) 892684031
Mail : h5652-re@accor.com
Web : http://www.etaphotel.com

Nombre de chambres : 70
Capacité d'accueil : 210

Résidences de tourisme à Fains-Véel et proximité

Il n'y a pas de résidences de tourisme étoilées à Fains-Véel et dans sa proximité immédiate

Camping à Fains-Véel et environs

Il n'y a pas de campings à Fains-Véel et dans ses environs immédiats

Villages vacances à Fains-Véel et environs

Il n'y a pas de Villages vacances à Fains-Véel et dans ses environs immédiats

Parcs résidentiels de loisirs à Fains-Véel et environs

Il n'y a pas de Parcs résidentiels de loisirs à Fains-Véel et dans ses environs immédiats


Twitter Facebook Google Plus Linkedin
Sélectionner une région :
Sélectionner un département :
Robot Aidrop farming crypto